Nos émotions de base et notre cerveau
L’Homme est un être d’émotions. C’est ainsi qu’il « fonctionne ». De manière simplifiée, nous réagissons à quatre émotions dites primaires : la Joie, la Tristesse, la Peur et la Colère. Entre chacune se situent un certain nombre d’émotions intermédiaires.
Un exemple simple pour le vérifier.
Imaginons Albert à qui son patron déclare de but en blanc : « Tu es un incapable ! ». Albert peut ressentir de la tristesse (« Je déçois à ce point ? Je suis donc si incompétent ? ») ou de la colère (« Me dire ça après tout ce que j’ai fait ! N’être même pas capable de reconnaitre mes efforts ! »).
Son patron lui annonce qu’il va être viré dans le mois qui suit. Albert ressent alors de la peur.(« Que vais-je devenir ? Comment vais-je m’en sortir ? »). Et enfin, son patron lui dit : « Mais non, pas du tout, tu es super compétent et je prévois pour toi une promotion et une belle augmentation de salaire ! ». Là, Albert éprouve de la joie (« Génial ! Mes efforts sont récompensés ! » ).
Nous voyons bien que l’on peut facilement ressentir les 4 émotions de base. Et en règle générale, la majeure partie de nos actions et de nos comportements – et aussi de nos pensées – sont déterminées par notre état émotionnel.
Trois cerveaux en un
Comment tout cela fonctionne-t-il ? Examinons la fameuse théorie (dite du cerveau triunique) du médecin et neurobiologiste américain Paul D. Mac Lean. Parfois contestée, elle n’en est pas moins intéressante.
1) Le cerveau reptilien, le primitif
Le cerveau reptilien tout d’abord, dit également « cerveau primitif », est le plus ancien. Nous le partageons notamment avec les poissons et les reptiles. Siège des réflexes, il agit selon un mode prédéfini. Sa fonction essentielle est de veiller à la sécurité en assurant d’une part les besoins de base (faim, soif, sommeil) et d’autre part, la sauvegarde de l’individu et de l’espèce en induisant la stratégie la plus archaïque face au danger (fuite, attaque, reproduction, défense du territoire).
En présence d’une menace, il produit une accélération du rythme cardiaque afin d’être prêt à fournir l’énergie nécessaire à la fuite ou au combat. Il se met ainsi en action quand nous lâchons brutalement un plat brûlant ou esquivons un accident automobile d’un coup de volant.
Il intervient également quand, dans un séminaire, nous nous rasseyons toujours au même endroit ou marquons notre territoire en accrochant tableaux et affiches aux murs de notre bureau ou de notre appartement. C’est un marquage et une défense du territoire : « Ici, c’est chez moi ».
Nous le retrouvons encore lorsque nous procédons à l’application stricte de règles et procédures sans y apporter quelque touche personnelle que ce soit. Nous sommes alors dans l’imitation, la répétition, la routine et la reproduction de schémas qui, même s’ils nous mènent parfois à l’erreur, nous apporte le confort du connu et du déjà vu.
Le fonctionnement du reptilien, c’est la sécurité. Sous sa dominance, nous préférons évoluer dans un cadre organisé, dont les règles sont connues. En tant que programme répétitif, il privilégie la répétition d’actes pour notre survie et satisfaire notre besoin d’être sécurisé. C’est un cerveau qui n’apprend pas.
2) Le cerveau limbique, commun aux mammifères
Le deuxième cerveau, le limbique, est commun aux mammifères. Siège des émotions et centre des motivations, il est étanche à la logique dite cartésienne. L’émotion déclenchée par un stimulus agissant sur le système limbique n’est pas sous le contrôle du cortex (cf. ci-dessous). Il est ainsi difficile d’enlever une peur en faisant intervenir un raisonnement (Exemple : « rationnaliser » la peur du noir vis-à-vis d’un enfant). Si l’émotion est intense, le limbique réagit vivement et bloque toute réactivité de la zone corticale (le trac de l’acteur ou la crise de panique l’illustrent bien). En gros, une émotion trop forte empêche de réfléchir !
L’information est donc filtrée par le limbique avant d’arriver au cortex. Ses filtres les plus importants sont les notions de plaisir ou déplaisir. Il agit dans le « j’aime / j’aime pas ». Par ailleurs, n’oublions pas qu’il existe dans le cerveau un centre du plaisir que l’on peut aussi dénommer besoin de récompense à tel point que la suppression d’une récompense attendue est équivalente à une punition (cf. centre amygdalien). Cela vaut pour un enfant mais aussi pour un adulte. Il n’y a que l’objet même de la récompense qui diffère ; de ce point de vue, un bonbon ou une prime de fin d’année, c’est pareil !
Le limbique stocke en mémoire chaque information : toute information nouvelle est aussitôt raccordée à un souvenir plaisant ou déplaisant avant d’être transmise au cortex. Si l’intensité du déplaisir est trop forte, le limbique ralentit la transmission et peut même, si nécessaire, bloquer l’information. Il y a alors refus ou fuite ou même agressivité si la fuite n’est pas possible. Un employé qui fait un « travail de cochon » ou tombe brutalement en arrêt maladie n’a peut être pas eu l’augmentation de salaire ou la promotion promise ; un étudiant qui refuse « sans raison » de passer un examen a peut être en mémoire un échec cuisant assorti d’une forte baisse d’estime de soi. Inversement, toute expérience qui a été associée au plaisir se répétera d’autant plus facilement.
3) Le néocortex, cerveau associatif
Enfin, nous trouvons le grand cerveau généralement appelé cortex ou néocortex. Siège du raisonnement et de la réflexion, il permet une adaptation aux situations inattendues. En nous permettant d’analyser, d’interroger, il fonctionne par projection dans le futur et se nourrit de nouveauté. Imaginatif et créatif, il n’aime pas la stabilité et refuse la routine.
Le langage lui appartient, à la fois dans la dénomination de choses concrètes et dans le maniement d’abstractions en accordant une grande valeur aux idées, innovations, concepts et théories. Son appétence pour les choses nouvelles fait qu’il s’appuie sur le sens de l’anticipation, permettant de tester la pro-activité et de développer au mieux les stratégies d’adaptation.
Quand le cortex prend le dessus, il importe de nourrir le besoin de nouveauté, tant en variété qu’en complexité et de stimuler l’imagination. Le cortex permet aux instincts (en provenance du reptilien) de s’exprimer avec politesse, voire avec finesse ou délicatesse.
3 couches, 3 étapes de développement
L’un des intérêts majeurs des travaux de Mac Lean est d’avoir établit que le cerveau humain connaît trois étapes de développement, tout comme l’évolution de la vie sur Terre : reptile, mammifère et humain. Alors que l’on considérait jusqu’alors que le néocortex était le cerveau dominant, régissant les deux autres, Mac Lean a montré que ces trois cerveaux, connectés entre eux, fonctionnent à partir de leurs caractéristiques distinctes. Cela signifie que les cerveaux reptilien et limbique ont tout à fait la possibilité d’affecter les actions du néocortex.
En résumé, nos « trois cerveaux » agissent de concert mais ils sont, pour chacun d’entre nous, hiérarchisés et valorisés d’une manière spécifique : l’un est dominant, un autre est en appui et le dernier est réprimé.
Même si sa théorie a reçu des critiques, elle montre combien nous sommes dépendant de ce que nous percevons et combien nos émotions nous dirigent. Elle permet de saisir à quel point l’ensemble des informations que nous captons n’arrive pas directement à notre conscience mais est d’abord décortiqué, analysé, transformé et trié.
La peur, une émotion dominante
Nos émotions sont utiles et nécessaires mais si elles sont trop fortes ou non contrôlées, elles nous paralysent. Si notre limbique explose car saturé, notre cortex devient inopérant (exemple : une colère violente peut générer de la mauvaise foi au lieu d’un logique équilibrée).
Nous nous croyons souvent victimes de nos émotions car il arrive qu’elles nous envahissent, un peu comme quelque chose qui intervient soudainement, que nous ne maîtrisons pas (ou mal) et qui vient nuire à notre désir de sérénité, de tranquillité, d’apaisement. Albert, dans l’exemple ci-dessus, les a éprouvées tour à tour du seul fait de ce que son patron lui disait. L’une des émotions la plus couramment ressentie est la peur. Elle vient alors activer notre cerveau reptilien et son puissant désir de sécurité.
Le monde politique en donne des illustrations frappantes car, en « agissant » sur la peur, il est beaucoup plus facile d’obtenir ce que l’on veut. Tel leader va dénoncer telle crise, tel comportement de son adversaire ou telle puissance négative. Il va insister sur la forte probabilité d’un malheur, d’une catastrophe, d’un risque qui va à l’encontre même de nos désirs. La peur étant ainsi déclenchée, il ne lui reste plus qu’à se présenter comme le rempart à tous ces dangers et comme le sauveur grâce auquel nous vivrons heureux, loin de toute crainte. Les dictateurs ont toujours pris le pouvoir ainsi, mais les démocraties agissent avec le même type de discours lors d’élections.
Les assureurs font pareil : si vous ne souscrivez pas l’assurance SecurMachin, vous prenez tous les risques : vol ou destruction de vos biens, condamnation sans indemnité, etc, etc. La peur est instillée. « Rassurez-vous, en souscrivant l’assurance SecurMachin, non seulement vous ne risquez plus rien mais de plus, vous y gagnez. »
Revenons à Albert. Imaginons à présent que son épouse lui déclare que s’il ne rentre pas plus tôt du bureau et ne se consacre pas davantage à sa vie de famille, elle va le quitter. Pauvre Albert : le voici avec une autre peur. Mais, s’il réduit son temps de travail et s’adonne plus aux joies de la famille, sa sécurité personnelle est assurée. Dilemme : sa sécurité professionnelle est affaiblie. Le voici balloté avec de multiples émotions !
Ces exemples sont simplifiés mais n’en constituent pas moins une réalité à laquelle nous sommes quotidiennement confrontés et répondant au même processus. Parfois, instiller la peur peut être une technique de manipulation ….
Soit dit en passant, la peur a dans certains cas une grande utilité : vous traversez une rue tandis qu’une voiture vous fonce dessus.
- 1ère réaction possible : vous décidez d’analyser la vitesse du véhicule, la probabilité que sa trajectoire rencontre la votre, la puissance théorique de la force d’impact en cas de collision et…. vous vous retrouverez à terminer votre analyse dans une ambulance.
- 2ème réaction possible : votre cerveau reptilien se met aussitôt en action et commande à vos jambes de gagner au plus vite le trottoir d’en face. Sécurité ! Vous n’avez pas réfléchi, vous avez agit et vous êtes toujours en vie.
La plupart d’entre nous, heureusement, réagissons selon cette 2ème possibilité ! Car la peur a une fonction protectrice : elle nous avertit de la présence possible d’un danger et nous fait alors (ré)agir en conséquence. Si nous n’éprouvions aucune peur, nous prendrions un autre risque : nous lancer dans une entreprise quelconque très au-delà de ce que nous pouvons endurer, accomplir ou maitriser et nous nous placerions alors dans une réelle situation de (grand) danger. Avoir peur ici évite l’inconscience.
Que de peurs en perspective !
Dans nos comportements et réflexions habituels, nous constatons cependant que la peur – émotion abondamment partagée – se déclenche grâce à l’imagination ou, plus justement, à l’anticipation. Elle nous informe d’un danger potentiel.
Utile et salvatrice dans certains cas, elle peut aussi nous empêcher d’agir et de vivre sereinement dans beaucoup d’autres cas. Pourquoi ? Parce qu’elle est déclenchée par la perception d’un danger. Comme cette perception nous appartient en propre, elle est subjective et donc pas forcément réaliste. C’est notre imagination qui perturbe notre perception.
En d’autres mots, nous portons un jugement (tout à fait personnel) sur ce que notre imagination nous fait entrevoir à partir d’un élément factuel.
Exemples :
- Il est prévu la fermeture d’un site industriel dans deux ans. Déjà, les salariés sont rongés d’inquiétudes. « Est-ce que je vais être reclassé ? Comment vais-je retrouver du travail ? Comment je vais faire pour payer tous mes crédits ? ». Le limbique engrange de la peur et du déplaisir. Il renvoie au reptilien : « Au secours pour ma sécurité ! ». Le cortex pourrait rétorquer : « Calmons-nous ; en deux ans, il peut se passer tellement de choses diverses ! ». Mais qui va l’écouter ?
- Marie dit à Albert : « Il faut que je te parle ». Le couple reptilien/limbique d’Albert est déjà en émoi. « S’il n’y a que ton travail qui compte, je te quitte ». Nous vous laissons imaginer le « raisonnement » que se tient alors Albert.
- Mon banquier m’écrit : « J’aimerais vous rencontrer au plus vite ». Qu’est ce que je ressens ? De la peur ! S’il veut me voir, c’est pour parler d’argent et si c’est « au plus vite », c’est qu’il y a un vrai souci ! Et hop ! Voici les insomnies jusqu’au rendez-vous. Or, il s’avère que mon banquier veut me faire profiter d’une opportunité de placement attractive mais très limitée dans le temps. Ouf ! Je me suis inquiété pour rien mais que de battements de cœur et de montées d’adrénaline !
- Marie attend Albert pour diner. Dans la première heure de retard, elle est en colère. « Encore son boulot qui le retient ! ». Dans la deuxième heure de retard, elle s’inquiète « : « Pourvu qu’il n’ait pas eut un accident » et – grâce à l’imagination ! – elle le « voit » ensanglanté dans sa voiture accidentée. Albert arrive enfin : sa voiture était partie en fourrière et son téléphone portable était à cours de batterie. Marie était tellement envahie par la peur qu’elle n’a jamais songé à envisager une autre possibilité que l’accident potentiel d’Albert.
Alors, il devient utile de se questionner : De quoi avons vraiment peur ? Avons-nous toujours raison d’avoir peur ? Pourquoi imaginons-nous les choses à venir en négatif ?
Mettre nos peurs à distance et les utiliser
Tous, à un moment ou à un autre de nos vies, nous rencontrons la peur. Ce qui suit vaut pour toutes ces « petites » peurs qui nous polluent la vie, nous empêchent d’agir ou esquintent beaucoup de nos rapports interpersonnels. Nous ne parlons évidemment pas ici des peurs phobiques où un traitement psychothérapeutique peut s’avérer nécessaire, mais de toutes ces peurs insidieuses qui génèrent de l’anxiété et viennent saper notre confiance en nous.
Voici donc quelques « recettes » pour, non pas supprimer nos peurs, mais pour les mettre en perspective, pour ne plus nous laisser débordé et envahi. Elles se centrent sur notre manière de les considérer.
- Savoir que la peur est une émotion comme une autre. Dire « même pas peur », c’est bien pour crâner devant les copains quand on est enfant mais savoir que cette émotion est universelle est encore mieux : cela évite de culpabiliser si on la ressent et cela nous permet de savoir où sont nos limites.
- Savoir que la peur est un signal d’alarme. Si vous la ressentez, le premier point n’est pas de savoir si elle est juste ou fausse, positive ou négative mais de comprendre que notre cellule d’alerte vient d’être activée. Il s’agit donc de réveiller notre vigilance. Ensuite, la réflexion sur sa pertinence peut intervenir mais dans un premier temps, il est utile d’écouter le message délivré par notre organisme.
- Savoir que la peur permet de mettre en œuvre notre créativité. Si vous avez peur, c’est 1/ que quelque chose ne va pas et 2/ que si vous continuez de même, le danger qu’elle fait entrevoir risque de devenir une réalité. Sauf dans les cas extrêmes où notre intégrité est brutalement mise en cause (la voiture qui me fonce dessus quand je traverse), il est préférable d’agir en étant créatif plutôt que réactif : Que se passe-t-il ? Est-ce vrai ? Quel est mon risque ? Quelle est la « réalité » de ce risque ? Que puis-je faire ? Comment et quand le faire ? Pas toujours facile car on a vu que la surexcitation du limbique bloque l’activation du cortex et renvoie au reptilien.
Certains exercices de libération émotionnelle sont tout à fait utiles pour reconnaître puis accepter l’émotion, celle-ci s’atténue voire disparaît en quelques minutes et alors on peut réactiver la fonction réflexive grâce à un fort apport d’oxygène et au lâcher-prise : de nouvelles idées surgissent ensuite d’elles-mêmes (nous contacter pour en savoir plus).
- Savoir que malgré tout, vous pouvez demeurer tétanisé. Tétanisé est bien le mot : la peur que vous ressentez parfois est si grande que vous ne pouvez plus agir, vous pouvez à peine réfléchir. Il arrive même que la respiration se bloque, que la température corporelle se modifie, que des tremblements interviennent, etc. Mais de grâce, soyez gentil avec vous-même ! Acceptez que cela puisse vous arriver comme cela peut arriver à absolument tout le monde.Si vous ne trouvez rien « en vous » pour la surmonter, cherchez alors autour de vous : quelle personne (parent, amis, professionnel,…) pourrait vous aidez à surmonter ce cap ? Car cette peur qui vous tétanise n’est qu’un cap, un passage qui a une durée, limitée nécessairement, et qui finira par s’estomper jusqu’à disparaitre.
- Savoir que notre peur ne dure qu’un instant. Le moment étant passé, l’émotion est elle toujours aussi forte, violente, annihilante ? Quelle est donc votre plus grande peur ? Face à une situation qui vous fait peur, quel est votre risque maximal ? Ce risque a-t-il vraiment – et le plus objectivement possible – une possibilité de se réaliser ? Si oui, quand et comment ? Que se passerait-il si cette peur ne vous habitait plus ? Que ressentiriez-vous alors ? Et, question ultime : que pourriez vous faire pour ne plus ressentir cette peur ?
Si, malgré tout, votre peur perdure (disparaît puis revient sans cesse) et devient un obstacle à votre épanouissement, pourquoi ne demanderiez vous pas une consultation à un professionnel qui vous aiderait à y voir plus clair ? Est-ce que demander de l’aide pour enlever votre peur peut vous donner une autre peur ? Craignez-vous alors de paraitre insuffisamment courageux ou autonome ? Si oui, êtes-vous absolument certain que c’est vrai ? Et pourquoi ne décideriez vous pas alors de relire lentement (et tranquillement !) les quelques recettes ci-dessus pour profiter pleinement de la vie !
Ce que j’aimerais que vous fassiez maintenant :
- Indiquez dans la zone commentaire ci-dessous votre plus grande peur (ou plusieurs) et l’impact négatif quelle(s) a (ont) dans votre vie (professionnelle et/ou personnelle)
Je suis depuis peu, apres un crise d’angoisse dans la peur du regard des gens, de leurs jugements en dautres termes une phobie sociale ! Alors que ce n’était pas le cas avant. Meme si j’ai totalement conscience que tt le monde se regarde et que sa ne vient que de ma propre imagination je n’arrive pas a men séparer ! Cest comme si depuis cette crise d’angoisse c’était ancré en moi ! Je vois un psy et sa se dénoue chaque jour mais c’est réelment pas simple…
Séparé de mon mari a sa demande. Il continue de m’écrire et m’embrasser dur les lèvres (nous travaillons ensemble), malgré que depuis 5 ans il vis une autre vie. Le problème c’est que je n’arrive pas à lui dire d’arrêter ces actes car j’ai peur de le.perdre complètement. ..pourtant je suis malheureuse et me sens sali de ce qu’il me fais subir. …J’ai l’impression que s’il arrêté ses actes je vais mourir de chagrin. …….Je suis une thérapie mais rien y fais. …apparement je souffre du syndrome d’abandon. …..C’est une peur terrifiante car je ne sais pas quelle sera vraiment ma reaction…..survivre ou vraiment en mourir….
Peur du ridicule, de ne pas être à la hauteur et de toute situation d’humiliation.
[…] comme un système d’alarme. Ainsi quand nous ressentons des émotions désagréables comme la peur, l’anxiété, le stress, la tristesse, la colère, la résignation, la frustration, […]
Bonsoir
je suis tétanisée lorsque je passe un entretien, peur de ne pas réussir à trouver un emploi
j ai passé un examen avec jury j ai été prise de panique il n y avait pas lieu d avoir peur
j ai mon ami qui part en déplacement idem je suis prise de panique tous ceux-ci depuis le suicide de mon ami il y a 22 mois me retrouvant en état de choc je vais mieux
merci
viviane
peur de parler en public de me présenter lors de reunion et pitchs client
je suis directeur de comptes et c’est arrivé d’un coup il y a 3 ans depuis j’essais d’éviter les rencontres clients mais cela en devient dangereux pour mon emploi ….
moi j’ai toujours eu peur avant d’entretenir quoique ce soit, peur de ne pas réussir d’être déçue ou frustrée du résultat, de décevoir les autre ou pas être à la hauteur des attentes..0, mais c’est au niveau du relationnel qu’elle me bloque le plus, j’ai eu des mauvaise passe dans ma vie sur ce plants et du coup j’arrive pas me détacher, des que je fait rencontre il y a directement ce sentiment de peur..que ça marche pas, que c’est un monteur, qu’il cherche juste passer un moment sympa puis il passe à autre…etc, qui s’installe en moi petit a petit et plus je me sens bien plus la peur s’intensifie…jusqu’à ce que ça se confirme et place au remords…
Excellent article et très bonne analyse.
Moi, ma plus grande peur, c’est la peur de vide. Petit, il m’arrivait d’être terrorisé à la simple idée de descendre un escalier un peu raid.
Bravo pour cet article. Il est excellent, complet et très bien construit. Merci.
Ma peur : Ne pas être aimé
Impact : un blocage dans mes relations avec les autres (personnel et professionnel). Mon comportement est inadapté et plus j’essaie de plaire, plus mes actions sont mal interprétées et plus je ressens le rejet de mon entourage. Autrement dit, je fais le contraire de ce qu’il faudrait.
Ma plus grande peur était certainement la peur de l ‘abandon. Pour la faire taire, je ne savais pas
dire non, je me jugeais dans les yeux des autres, et j ai fini par me perdre dans des activités
pour l ‘oublier. Mon époux me quitte il y a 5 ans sans préavis et là c est le choc. Mise en place
de solutions de sécurité, je prend des colocataires, pour ne pas rester seule, et pour maintenir
mon train de vie. Je me lance à corps perdu dans le travail; et un jour tout s arrête, plus envie
de colocation, plus envie de faire semblant d être heureuse, et la retraite est arrivée.
C est la que la peur véritable me tétanise, envie de suicide, régression, angoisses, peur même
de me laver. Alors les jugements pleuvent, trop fragile, trop gentille, pas assez de volonté.
Apres 4 mois d extrême fatigue, je liste toutes les activités mises en place pour échapper à
cette satané peur, et je m aperçois qu’elle m avait accompagnée depuis. Aujourd’hui je la connais un peu mieux, et je voudrais l apprivoiser,
Merçi pour votre article, il vaut largement une consultation chez le psy, je reviendrais
Ma plus grande peur, et elle est très grande !!!c’est de finir ma vie toute
seule, sans l’amour d’un compagnon et délaissée par mon entourage.
J’ai peur des réactions de mon épouse lorsque je fais des choses qui me sont personnelles, comme un gosse qui aurai peur des réactions de sa mère.
Ma plus grande peur : ne pas parvenir à rencontre la personne qui me donnera envie de vieillir avec lui et lui avec moi, dans le partage et l’honnêteté et non pas dans l’obligation et la peur de ne pas pouvoir trouver mieux.
Ma pire peur : celle de l’échec. Parce que lorsqu’on calcule chacune de ses interventions en fonction du ratio probabilité d’échouer / gains escomptés, l’avantage se fait très souvent en fonction de la non-action. J’apprends désormais à me lancer dans des petits projets pour être certaine d’avoir l’energie intiale et me confronte le plus possible à l’echec (oups, j’ai laissé brûlé le plat, pas fait les courses, raté mon bilan etc). Rien qui ne nous tue au fond!
merci pour tout c est vraiment benefique pour moi
Quel beau sujet!!!! A vrai dire, le manque de recul peut nous entraîner à appréhender les belles choses de la vie tant nous sommes formatés par une société qui nous crée nos peurs. Etre ou ne pas être un stéréotype de la société peut faire basculer la naissance des peurs.
L’individu semble être télécommandé. Une prédestinée confectionnée par l’ensemble de la société.
Nos forces internes peuvent nous apporter une aide précieuse, lesquelles semblent lever les barrières
de la crainte; de l’angoisse.
A nous de déterminer les bons chemins, lesquels sont atténués de tous obstacles et engendre la levée des peurs.
En conclusion, croire en ses forces naturelles.
Quand j’étais enfant j’avais peur de mes réactions, j’étais très timide et complètement paralysée des qu’on essayait de m’aborder alors j’évitais les contacts et je me réfugiais dans mon monde plein de rêves …
Vers mes 10 ans j’ai découvert une phrase qui a transformé ma vie : « fais ce dont tu as peur et tu auras la mort de ta peur », elle revient encore à mon esprit des que j’en ai besoin. Petit à petit elle a transformé ma vie au-delà de mes espérances et m’a donné accès aux grand champs d’expériences qu’offre la vie. Je suis toujours une rêveuse mais au fur et à mesure, je réalise mes rêves et j’en recrée des toujours plus « fous »: j’essaie de convaincre mon entourage de l’importance de cette phrase mais ça fait rarement écho …sauf auprès des enfants .
La seule vraie peur qui me reste est la peur de l’eau quand je suis immergée, alors là j’avoue même en me conditionnant avant, il arrive encore parfois que je panique d’un coup sans savoir pourquoi. Il faudrait que je me donne du temps pour travailler la dessus mais je choisis toujours d’autres priorités….
Il m’arrive par contre d’avoir des craintes dans la vie :
Crainte de faire du mal aux personnes par maladresse
Crainte de ne pas être à la hauteur dans certaines situations, mais en général je me lance quand même et j’accepte ce qui arrive. De toute façon « chaque nuage a sa frange d’or » et « ce qui ne tue pas renforce »
J’ai eu quelques grandes épreuves dans ma vie et j’ai vraiment traversé les 2 dernières en toute sérénité, avec beaucoup de détachement, sans avoir eu à aucun moment de la peur.
Je n’ai plus peur de la mort non plus, je la côtoie souvent de par ma profession et je l’ai apprivoisée. Elle me fascine, m’interroge . Elle me fait craindre parfois de passer à coté de choses qui seraient essentielles dans la vie, et que je n’aurais pas su découvrir avant de mourir moi même….
la peur peut inciter à l’action ou à l’inaction.
Si la peur est un avertisseur de danger, elle peut être à l’origine d’un processus mental destructeur.
Nous devons donc vaincre nos peurs en recherchant à chaque fois la facon de transformer cette peur en facteur de progrès et d’évolution sur tous les plans.
Développer la confiance en soi est un moyen de maitriser ses peurs.
Peur: Peur du regard, du jugement des autres.
Impact: Devant le regard des autres, je modifie parfois les gestes que je pose afin de cadrer avec ce qu’ils s’attendent de voir, plutôt que d’agir d’une manière que je sais être plus efficace et adaptée.
Peur du public malgré moi.
je suis parfois anxieux devant le public.
étant la cadette de ma famille,dans mon enfance et mon adolescence,un tas de gens prévenants mais oh combien aimants ont anticipé les dangers pour ne pas déstabiliser ma zone de confort si douillette.M’établir en tant qu’adulte(ma place,mes repères,mes limites)a été très apeurant.J’ai longtemps eu peur d’avoir peur.J’avais peur de la rivière en colère avant même de savoir qu’elle existe et que si par malheur elle existait,j’avais peur du pont qu’il me fallait traverser pour que je puisse continuer mon chemin.J’ai appris à reconnaître cette peur pour être maître de moi-même.Mais ma vigilance n’a pas le droit aux jours de congé.
Moi ma peur qui revient le plus souvent est celle de me tromper…donc avec elle, la peur aussi, de prendre une décision. Alors je suis continuellement incertaine de mes choix
C’est se tromper qui vous aide a grandir. Trompez vous encore et encore ! Vous finirez par avoir plus d’idées quant a votre voie. Apprenez a vous connaitre !
La peur de ne pas être à la hauteur et d’être jugé par les autres pour cela. J’ai tellement peur de montrer mes incapacités. Je pense que j’ai un besoin de reconnaissance incroyable. Je juge encore ce besoin comme n’étant pas bon, c’est peut-être pour cela que je l’ai encore ???…..
Je ne pense pas que le fait de juger quelque chose comme nocif l’insite a rester mais apprenez a regarder votre peur en face, posez vous la question deux fois lorsque vous en voulez plus des autres. Rien ne viendra d’eux, la réponse se trouve en vous, votre confiance en vous se trouve en vous et vous etes en vous ^^
Bravo! je vous remercie pour l’ouverture d’esprit que vous nous donnez par ce message. c’est plutôt une dé-clique qui doit bouleverser positivement la vie tout lecteur. ça fait booster nos potentiels. Merci beaucoup pour vos recherches précieuses. a plus
A la fin de la lecture de votre article, je suis heureuse de constater que je n’ai plus de grande peur…Plus je travaille sur mon ego et plus les peurs disparaissent avec lui… le chemin est encore long mais petit a petit s’installe une paix et un calme interieur qui refusent a la peur de faire son nid dans mon coeur et donc dans ma vie…
Toutes nos peurs sont des dragons qu’il nous faut affronter
et qui disparaissent quand nous osons les identifier!!!
Merci a Hexalto pour cet article,je viensde comprendre comment mon cerveau fonctione,c »est très interesant ce que j »ai appris sur moi.
Mon plus grand peur s »est de tomber malade et de ne pas avoir personne,l’impact negativ c’est que j’attrappe facilement les maladies ,puis j’ai peur d être ridiculisée quand je prend la parole en publique,et ça me rend ridicule,.
le simple fait d’avoir evoqué mes peurs m ‘a fait comprendre que mon cortex n’a pas le temps de reagir parfois,j »ai compris pourquoi j’agis diferament quand j’ai peur ou je suis en colère.
Peut être que j’arriverai a mieux controler mes emotions en connaisant la fonctionalité de mon cerveau.
Merci beuaucoup!
Angela
J’ai peur que mon agresseur avait raison pendant qu’il m’étranglait et me défonçait le crâne par terre: « ma vie est insignifiante » et comme je n’ai pas de famille donc personne pour s’en plaindre, même avec 3BAC+5 et 10K€ d’impôts payés par an, je suis toujours plus utile à la société en tant que punching ball humain.
Mais à part ça la vie est belle, lol
« la vie n’est qu’un passage », personne n’est signifiant, nous ne savons pas pourquoi nous sommes sur terre alors profitez en ! Profitez en pour faire ce que vous avez envie de faire, pour réaliser vos rêves ! Quels étaient-ils déjà ? Qui etes vous ? Que ressentez vous ? Qui voulez vous etre ? Posez vous la question !
Des detes et des qualifications font de vous quelqu’un d’inutile ? Nous sommes tous inutiles ! La société est-elle plus utile que vous ? Pourquoi voulez vous donner a la société ? Va t-elle réaliser vos rêves ? Est-elle seulement quelqu’un ? Tellement abstrait la société…
Ah et apprenez a voir votre valeur !
La vie est belle
ce qui me fait peur actuellement et depuis toujours, c’est de prendre la parole et de parler en public;
peur de ne pas être à la hauteur et d’être bloqué , ridiculisé
je souhaiterais être un orateur qui maîtrise son sujet
Si tu souhaites être un bon orateur,il te faut connaître TB ton sujet ! bien entendu!!
Ensuite,tu peux t’imaginer en train de faire ton exposé avec toutes les SENSATIONS liées à ce moment .C’est à dire,bien sentir tes pieds sur le sol;les vêtements que tu porteras ce jour là,sens l’ambiance de la salle,la lumière(?),sens le papier que tu as peut être dans tes mains etc…il ne suffit pas d’imaginer mais aussi de RESSENTIR comme si tu étais déjà le soir de ton discours!!
Imagine et sens combien tu es le meilleur orateur que le monde ait jamais porté!!!
Te répéter avec CONVICTION « je suis le meilleur,je suis le meilleur »
Crois moi,c’est concluant!Et si tu te trompes????qu’est ce que ça peut faire?Tu te reprends très vite avec un peu d’humour!!très important l’humour!!!
et ….La terre ne va s’arrêter de tourner pour autant!!
bonne chance cher orateur!
Maitriser son sujet n’est pas se tromper. Vous pouvez faire des erreurs et recommencer, le public ne vous en voudra pas. Personnellement ce que je recherche chez un orateur c’est de la PASSION. Sachez aimer ce que vous faites, de quoi vous parlez et sachez le montrer aux autres. Vous ne vous exprimez pas pour qu’on vous admire mais pour partager un sujet qui vous tient a coeur.
Voyez les choses différemment et continuez d’avancer !
Salut. Bon document.
Moi j’ai une grande peur!
Je viens de perdre mon boulot et je m’inquiète pour l’avenir car avec mes deux enfants, mon épouse ce n’est pas facile.
J’ai 36 ans et le retour à un nouveau boulot me semble très difficile surtout dans notre environnement béninois.
Que faire? J’ai une petite économie qui peut me tenir pendant au moins 10 mois sans travail mais j’ai envie d’investir dans une nouvelle activité avec les risques que cela comporte.
En tous cas, j’ai peur et suis très inquiet.
Donnez vous les moyens de réaliser vos rêves ! C’est votre vie et vous n’etes pas seul ! Votre femme et vos enfants sont la pour vous soutenir, vous ne vous en rendez peut etre pas compte mais vous n’etes pas seul alors n’ayez pas peur, et lancez vous !
Très bel article!
Bonjour,
Ma plus grande peur récurrente et qui me paralyse est du au manque de confiance en moi et à la jalousie…
Je pensais que c’était la peur de l’abandon mais je pense que c’est aussi la peur que l »autre » soit plus performant que moi et donc je me sens incapable de faire face à cette « rivalité » et du coup je deviens ma peur je perds mes moyens et vais jusqu’à ne plus pouvoir avoir d’erection et ma partenaire va donc se tourner vers celui qui sera en confiance et réussira à la satisfaire…
Au secours!!
Bonsoir
Etre jaloux c’est CROIRE que les autres ont quelque chose que tu n’as pas!! FAUX ! FAUSSE CROYANCE !
Pourquoi rivaliser avec l’autre?L’autre possède des qualités que tu n’as pas et vice et versa!!Chacun dans ce monde a SA PLACE!
C’est cela qui est magnifique!Au lieu de diviser pourquoi pas multiplier???Mettre ensemble ses capacités!
Diviser c’est de la souffrance garantie!
Maintenant si tu veux rivaliser avec un autre par rapport à ta sexualité….!comment sais-tu,d’abord, que l’autre est meilleur???et si celui là n’avait rien dans sa tête? ni dans son coeur ? il faut voir où est l’amour dans tout ça?
Bonne chance et essaie de parler avec ton amie! C’est la meilleure manière d’éclairer ce problème et te sentir en paix
Bonjour,
Apprend a faire confiance a ta partenaire, parle avec elle et apprend a avoir confiance en toi. Je pense qu’il faut d’abord que tu te rendes compte qu’on est tous différents, tous compétents, qu’on a tous le droit d’avoir des reves et qu’on est libres. Prends du recul sur toi meme, et cesse de te comparer aux autres, tu vaux aussi bien qu’eux ! Tu vaux autant que ton amie, elle a le choix mais toi aussi ! Tu n’es ni inferieur a elle ni a ses exs ni a qui que ce soit. apprends a voir des possibilités, tu es capable de devenir aussi bien que tel ou tel star a la télé, tu es capables de réaliser tes rêves !
C’est ta vie et ce sont tes choix, les choix que tu fais tu les faits en fonction de tes ERREURS de tes peurs… Et ils sont aussi biens que ceux des autres ! Et meme s’ils n’amenent pas la ou tu voulais, tu auras de nouveaux choix et cette « erreur » te servira, crois moi
Bonjour,
Ma plus grande angoisse, ou peur si l’on veut, c’est de prendre l’autoroute … seule en voiture surtout . Peur de l’inconnu ? Si j’ai quelqu’un à mes côtés dont je suis certaine qu’il ou elle connait parfaitement la route, alors je parvient quand même à franchir le cap mais en étant sur mes gardes et pas à l’aise du tout , et il faut que ce soit alors un très petit parcours… L’autoroute représente pour moi » l’infini » et ça m’angoisse terriblement à en attraper des sueurs, un étau à la gorge , etc …… et je ne sais vraiment pas expliquer pourquoi ???? C’est très ennuyant car je suis très limitée dans mes déplacements et ça me coupe de pas mal de découvertes….
Très difficile d’exprimer ce que je ressens exactement mais c’est hyper dérangeant …
Bien à vous.
Bonsoir Carine
Tu dis que l’autoroute représente pour toi l’infini…joli….mais c’est juste une question de regard…moi ce que je vois,c’est qu’il y a aussi des « sorties « d’autoroute.Ce que je sais c’est que je peux quitter cet autoroute QUAND JE VEUX!
L’infini fait peur c’est évident…mais l’autoroute n’est pas l’infini!
Commence par de très courts trajets et sors à la première sortie! Ensuite,tu sortiras à la 2ème sortie etc et petit à petit,tu feras le tour de la Belgique!!
Comme j’ai écrit à une autre personne,en imagination,sens -toi au volant de ta voiture et fais le petit trajet en imagination;bien détendue dans ton fauteuil et puis tu verras qu’en t’exerçant ainsi quand tu prendras le volant,ce sera comme si tu avais déjà fait le trajet…dans ta tête!!AH!! la puissance du mental!!
BONNE ROUTE !
Bonsoir Carine,
Je rejoins l’avis de colette, faites de petits trajets de plsu en plus grands, regardez des cartes pour connaitre votre trajet, ou choisissez un autre moyen d’arriver a destination : des petites routes de campagnes, des transports en commun… Peut etre que connaitre l’endroit ou vous arriverez vous aiderait ?
J’ai une peur à laquelle on ne peut rien faire car ça ne dépend pas de moi…j’ai peur que les glaciers ne fondent;que les océans débordent,du réchauffement de la terre;des cataclysmes…je lis des revues scientifiques afin de me documenter (et de comprendre!!!) sur les phénomènes..
je me pose alors la question: »est ce VRAI que les océans vont déborder??? » pas sûr….et donc: illusion.POINT! mais,pas si simple!!!
Les scientifiques disent qu’il est urgent de se préoccuper de la planète!C’est ce que l’homme essaie de faire depuis 1987,mais n’est ce pas trop tard???
Je n’ai pas tellement peur pour moi…j’ai 65 ans mais pour mes enfants et mes petits enfants!!
Alors,que faire sinon espérer que ce soit juste une utopie??que tout va s’arranger?
et je dis comme dans la chanson: « Stone le monde est Stone,je ne sais pas si c’est la terre qui tourne à l’envers ou bien si c’est moi qui m’fais du cinéma?????qui m’fais MON cinéma??? »
Bonjour,
C’est une grande question !
Croyez vous vraiment que vous etes incapable de faire les choses ? Que cela ne dépend pas de vous ?
Regardez « demain », écoutez « Hey mister », agissez a votre échele, cela vous detendra. vraiment !
La terre qui se rechauffe… la faute a l’homme, c’est a l’homme de faire marche arriere. J’en suis un représantant, vous en etes un autre mais nous sommes nombreux a chercher des solutions… Joignez vous a nous !
Ma plus grande peur ? De ne pas trouver un travail suffisamment rémunéré pour vivre correctement. Que veut dire correctement ? continuer à pouvoir payer mon loyer, pouvoir acheter un appartement, payer mes factures assurances alimentation …. Voilà, j’ai 53 ans et c’est ma plus grande peur ….. Ne plus être indépendante ….
L’indépendance ne tient pas a l’argent. Il existe des solutions pour économiser, pourquoi ne pas rendre votre maison autonome ? Faites des recherches et donnez vous les moyens de trouver une maison ! Faites vous plaisir et détendez vous, la vie n’est qu’un passage et que seront les biens mobiliers de l’autre coté ? Semez des fleurs sur votre chemin et prenez le temps d’apprécier la vie !
j’ai envie de réaliser un métier qui me passionne depuis longtemps « caoh.image »
Tout les personnes à qui j’en parle me disent que je suis faite pour ce métier,moi même j’en suis convaincu et pourtant une tres grande peur m’envahie ,celle de ne pas être à la hauteur ,de me casser la figure. Je pense que je manque énormément de confiance en moi ,ou l’opposé je vise trop haut (je surestime mes capacités)
J’aime la relation humaine et rendre les gents heureux ,à mieux s’estimer et les amener à voir la vie plus belle .Là est ma raison de vivre,ma vrais passion.
Lancez vous ! Martin Luther King avait un rêve, Steve Job avait un rêve. Ils ne se sont pas cassés la figure et heureusement car ils seraient tombés de haut ! C’est dans vos capacités, ne renoncez pas, et si cela vous parait difficile, faites appel a des gens, surmontez les difficultés ensembles ! Vive l’interdépendense !
Vous méritez vraiment d’avoir confiance en vous, ayez confiance en vlos choix, en vos rêves, en vos aventures, en les autres. Avant d’aider les autres a etre heureux, soyez le vous meme et… lancez vous !
C’est un très bon article.
Comme plusieurs j’ai ressentie des blocages liés à la peur, Cela m’arrive encore. Mais, j’essaie comme vous le conseillez, de cerner ce qui se passe en moi.
J’ai fait plusieurs cheminement personnel, j’ai suivi des formations sur le sujet et fait des expériences dans mon quotidien; et j’avoue que cela s’est révélé très constructif à bien des points de vue.
Aujourd’hui, je peux plus facilement prendre de la distance face aux autres, et je distingue davantage les attitudes, les comportements et les avenues qui me sont offertes.
Merci pour cet écrit
Sylvie Boudreault
J’ai tendance à dire que je suis né et issue de la peur: de par mon père qui à vécu très jeune et très longtemps dans la rue, plus de 15 ans, avant de rencontré notre mère. Avec toutes les conséquences inimaginables..
Mais aussi par une fragilité physique due à un accident de poussette, ayant eu pour conséquence, une hémiplégie avec séquelle psychomotrice, cognitif et émotionnel.
Non je vous rassure, je ne suis pas fou! juste hypersensible avec des problèmes psychomoteurs avec lesquels j’ai su compensé…
En plus d’une éducation dure à en avoir été énurétique, pendant douze ans. Au fil du temps différent parce que plus lent, fragile.. a développer l’échec, le manque de confiance en soi.. Commettant des erreurs, faisant des choix menant encore à l’echec puis La dépression chronique, sans m’en apercevoir je perdais de mon leadership sur moi -même! un peu comme si à petit feu, je tuai la liberté d’être moi-même
A force de s’entendre dire que l’on est qu’une merde parce qu’on est diffèrent, je me suis enfoncer dans l’échec le gouffre de la peur, de réussir, d’être soi.
Bizarrement , j’ai aussi développé un relationnel très humain, humaniste, je ne sais pas.
En tout cas c’est ce que disent les gens qui me côtoient…
K.
Bonjour Karim,
Il ne faut pas que l’histoire de tes parents te hante, néanmoins je n’ai pas l’impression qu’il s’agisse la d’une peur. Pour moi tu as l’air de très bien prendre les choses, d’avoir un beau recul. Je ne sais pas pour la confiance en soi et l’echec mais je pense que tu geres tres bien les choses et que tu es tres bien comme tu es ! continues sur cette voix ! Et sache que l’echec n’est pas une fin en soi, il peut aussi etre le début d’un beau parcours. C’est lui qui te permet de faire des choix.
Aies confiance en toi !
Ps: Je crois que te lire m’a tellement fais de bien que j’en ai perdu mon vouvoiement… tu sembles tellement proche des gens ! Alors pardon et a bientot !
Y
Très surpris et très interressent
j’ai apprecie ce document sur la peur certains passages m’ont ouvert les yeux specifiquement celui sur la politique . je serai beaucoup plus sur mes gardes quant a leurs discours. J`’ai l’intention de demander mon permis de conduire et vue les circontances medicales qui m’affligent
j’entrevoit cela comme escalader l’Everest.mais vue ma situation de solitude je dois m’y mettre.
Avoir votre permis de conduire vous permettra de faire face a votre solitude ? Il est vrai qu’il faut aller vers les autres mais attention de ne pas etre freiné par vos nouveaux amis, ne pensez pas etre dépendent d’eux a cause de votre peur de la solitude et aprenez a etre bien dans votre peaux et a vous aimer vous meme, c’est important !
Ma plus grande peur: ne pas être aimée. Conséquence: je dissimule ma vraie personnalité et dis oui quand je voudrais dire non.
Tu sais qui est la personne la plus importante au monde? Qui est la personne la plus DIGNE d’être aimée? Toi chère Hélène TOI !
Sois QUI TU ES, un être d’Amour !!
Le problème c’est que tu as oublié QUI tu es vraiment!
Donne, donne ,donne, de l’Amour et tu verras…l’amour te reviendra! c’est une LOI UNIVERSELLE !
AIME sans attendre,c’est plus facile que tu ne crois! et ainsi,tu n’es jamais déçue
Et puis,tu sais même si l’amour déçoit,c’est pas grave,il y en a tellement à donner!!
Et tant pis si les autres n’en veulent pas ! ils ne savent pas ce qu’ils perdent!
Vous dites oui a tout mais vous aime t on pour cela ? Laisser faire les choses ne vous permettra pas d’etre aimé ! Et personne ne peut etre aimé de tous, vous attirerez forcément jalousie, méfiance, crainte… ce sont des sentiments humains ! Acceptez vous telle que vous etes, et acceptez que les autres vous voient vraiment, alors seulement vous pourrez vraiment etre aimé. Pour ce que vous etes et non ce que vous donnez et subissez. Reprenez vous en main, dites non, refusez, choisissez ! Soyez vous !
J’ai une grande peur de l’eau aussi je croyais qu’en prenant des cours de natation j’allais apprivoiser cet élément. Cependant, c’est une peur atavique et j’ai du mal à m’en défaire. Résultat, je ne peux pas participer aux activités nautiques avec mes enfants. Heureusement, ils n’ont pas pris cette peur.
Prenez des bains, la tete sous l’eau… Detendez vous sous l’eau Apprenez a aimer l’eau (tout en etant en confiance : en ayant pied ou avec quelqu’un pres de vous…) avant d’apprendre a nager avec des amis (qui ne vous jugeront pas).
Vous ne cherchez pas a apprivoiser l’eau (avez vous apprivoisé le feu ?), seulement a etre en synbiose, a etre detendu 🙂
Vous etes capable de nager, vous etes capable d’etre avec vos enfants pour des activités nautiques.
Et surtout ne culpabilisez pas !
Peur d’avoir une maladie grave. Peur de perdre un être cher.
Peur d’une maladie…oui,je peux comprendre mais est- ce la réalité?es-tu vraiment malade?
si OUI, alors il faut te soigner! c’est tout!
Tant que tu n’as pas la preuve que tu es malade,tu es dans l’illusion!
Seras-tu plus forte que l’illusion? mais OUIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIII !!!ne laisse pas ton mental te dominer!
Les Canadiens disent: « on ne sortira les pelles que quand il neigera ! » et pas avant !!!
Peur de perdre un être cher? je comprends, mais nous partirons tous un jour et c’est la SEULE VERITE !
Et quand qq de cher partira pour un autre voyage,tu pourras te dire: » ce n’est pas X ou Y qui est parti mais le corps de X ou Y…
c’est très différent!
Merci beaucoup pour cet article j’en fait une nouvelle théorie de vie. Pour ce qui est de ma plus grande peur, je dirais que c’est assez varié. Je n’ai pas de peur en particulier, mais plutôt des moments de tétanisement, mais qui von porter à disparaitre avec vos enseignements.
Encore Merci pour tout.
Peur de l’échec -> je travaille dur, je suis un bourreau du travail -> je suis sans cesse dans l’effort -> je ne respecte pas assez mon écologie personnelle.
Peur du jugement -> manque d’estime de soi.
Valérie
Peur des émotions négatives…peur de les vivre…
Bonjour Colette!
Il n’y a pas d’émotions négatives….il y a juste des émotions,c’est tout!
C’est ce que tu vas en faire qui va être négatif ou pas!
Chaque fois qu’une émotion se profile….tu sais déjà(et ça va très vite!!) que tu vas avoir le choix entre le + ou le – !
Au début,tu dois prendre du recul,respirer profondément…et choisir la meilleure émotion qui soit pour toi à ce moment là!
Ne jamais prendre de décision lorsqu’on est sous l’emprise d’une émotion.
N’aie pas peur de tes émotions,elles sont là pour te dire qq chose,accueille- les,ce ne sont pas des ennemies!
E motion= de l’énergie en mouvement!!! et le mouvement c’est la VIE !!!!
bonne chance cher homonyme!
Bonjour,
La peur de l’échec m’empêche de continuer mes études, de faire ce que j’aime vraiment… Tout ce que je fais c,est de fuir toujours et toujours… de renoncer toujours parce que cette peur me paralyse tellement… Et c’est très douloureux… ma confiance en moi est de plus en plus inexistante… et pourtant j’ai de bons résultats, mais cette peur de ne pas être au niveau voulu me rend impuissante…
Mariana
Ne serait ce pas mieux ,plutôt que s de fuir,de regarder la réalité de ce qui EST VRAIMENT?
Quelle que soit cette réalité,Mariana,acceptez la !
Il est inutile de la nier.En la niant,vous créez le problème et le problème devient complexe.
Par contre, SI vous acceptez sa réalité comme elle est,cette acceptation elle même,fait disparaître les tensions !
Et quand il n’y a plus de tension,alors soudainement il y a de l’amour ! cqfd
N’abandonnez pas vos études,écoutez seulement votre coeur et tout ira bien
Comme tout habitant de la RDC, j’ai peur du lendemain, peur d’être incapable d’élever mes enfants comme il faut à cause du salaire de misère, peur de ne pas être à la hauteur de ma tâche. C’est vrai que cela me tétanise et m’empêche vraiment d’être heureux. Je voudrais en savoiir plus sur comment dompter cette peur.
Boujour! merci pour cet article, car ma peur est de ne pas réaliser les objectifs que je me suis fixé. Je suis consient que celà est un grand blocus pour ma vie alors s’il vous plaît j’attends votre aide.
BON JOUR ! Si tu veux réaliser tes objectifs,vise haut mais pas trop haut…du moins au début.Donne toi le temps d’y arriver même si çà ne va pas aussi vite que tu ne le voudrais! Sois aimable envers toi même.SOIS HEUREUX des petits pas que tu fais!
La vie devrait rester fluide…pas de blocus! Et pour cela,GARDER CONFIANCE en la VIE elle même!
Si on savait la chance qu’on a parfois de ne pas avoir ceci ou cela!!!
La chance d’avoir raté telle chose ou telle autre!
Toujours te dire: « j’y arriverai,je le sais!je ne sais pas COMMENT ni OU ni QUAND mais je le SAIS !
Moi,j’ai un petit carnet de commandes et j’y inscris mes désirs les plus chers..et quand ça se réalise,je biffe!!et je recommence!
Je pourrais écrire un livre à ce sujet!! c’est fabuleux!
Je t’envoie mes meilleures pensées
colette
Bonjour !
C’est bien d’avoir de grands objectifs, ca t’évite de les « perdre de vue » (il s’agit d’une citation dont j’ai oublié l’auteur et la formulation…). Néanmoins il ne faut pas qu’il en resulte du stress et de la pression. Trouvez des intermédiaires, un premier pas puis un second, appréciez le chemin que vous parcourez pour réaliser ce but.
Donnez vous les moyens de faire les choses et faites vous plaisir !
Quelques petites citations que j’adore : « je ne te dis pas que ce sera facile, je te dis que ca en vaudra la peine »
« vous n’etes pas arrivé mais vous etes plus proche qu’hier »
Voila
J’espere vous avoir aidé
merci pour cet article.
en ce qui me concerne j’ai peur des autres…peur de me laisser envahir, peur de perdre ma liberté en fait. J’ai tellement été contrainte, jugée, manipulée que l’autre devient maintenant un danger potentiel…pas évident à vivre.
Article très intéressant : les illustrations montrent bien comment la peur génère des
comportements inadaptés
. La sophrologie – par la respiratiion et l ecoute du corps permet d apprendre à mettre de la distance. Merci a vous
Bonjour,
C’est drôle, ce matin samedi 29 septembre, je suis en train de vivre une situation d’angoisse »
je la sens monter,je l’analyse, est t’elle justifiée? OUI, j’en prend acte, mon corps est en train de me parler…. Je fais quelques exercices de respiration, pour reprendre mon calme.
Je me dis : accepte la situation telle qu’elle est, mais maintenant il va falloir sortir de cet immobilisme, comment? j’y réfléchis,il va falloir poser des actes…..
(que je vous explique, je suis gérante d’une épicerie fine qui depuis plus d’un an 1/2 voit son CA dégringolé, après une situation de « panique », j’ai mis en vente : il ne se passe rien. Je ne dégage plus de revenus. Je tiens, je tiens, attention au Moral. J’ai peur évidemment du « Vide ». Tout un travail – il me faut passer à autrechose…..et puis je vais bientôt avoir 58 ans, pas le choix que de positiver l’Avenir et vivre au mieux le temps présent.
La peur qui me tétanise et me donne des crises d’angoisses, c’est d’être seule dans ma chambre, sans personne à la maison. Je vis en couple depuis une trentaine d’années, nous vivons dans un petit village très tranquille, mon mari pour raison de santé dormait à l’hôpital durant à peine 4 à 5 nuits.
Dans ce cas de figure il m’est arrivée d’être en panique totale au lit, souffle court, cœur qui bat la chamade.
Épiant le moindre bruit qui d’ordinaire ne m’angoisse pas. Depuis quand mon mari doit s’absenter j’essaye quelques jours avant qu’il ne parte de conditionner mon cerveau. puisque c’est moi qui alimente cette peur.
Je tiens juste à préciser que je me sent vraiment bien dans ma maison en temps normal.
Et si vous vous rapprochiez de vos voisins ? Si vous appreniez a les connaitre ?
Si vous preniez un chien, si vous invitiez des gens ? Si vous vous regardiez un film ? Si vous mangiez devant la télé ? Si vous vous autorisiez a faire quelque chose que vous ne feriez normalement pas ? Comment faire pour que ces moments seuls deviennent festifs ? Amusez vous !
Il existe aussi des alternatives différentes… Je ne connais pas grand chose en acupuncture mais si vous faisiez le feng chui de votre maison ?
Pour ma part, j’ai peur de m’exprimer en public, peur de dire ce que je ressens (donner mon opinion sur quelque chose), peur du regard des autres (jugement, critique…) et peur de mal faire..
Peur en public???j’ai un truc: tu imagines l’autre ou les autres en petite tenue(slip,pyjama,en « marcel » etc….) tu verras,ça marche TB.!!Les « autres » ont tout d’un coup une autre allure!!ils descendent de leur soi-disant pied d’estalle
Peur de mal faire???
Fais de ton mieux et c’est tout!!! et sache que tu as le droit à l’erreur.
La perfection n’est pas de ce monde,INUTILE de perdre son énergie à vouloir être parfaite!C’est une pure ILLUSION
Alors,trompe toi! tu en as le droit et d’ailleurs,c’est comme ça qu’on apprend!!
Sois,toi aussi,aimante envers toi même,sois indulgente envers la personne que tu es!
et…… ce que les autres pensent de toi ne te regarde pas! c’est leur affaire,c’est tout!!
allez,sois sans crainte de te montrer telle que tu ES
amitié
peur de l’engagement
Il vaut mieux s’engager quitte à se tromper plutôt que de ne pas s’engager du tout!!!
rien de pire que de rester dans l’hésitation!!
situation très inconfortable qu’il ne faut pas laisser se prolonger!!!
Est ce que lorsque tu t’engages, tu engages ta vie?????alors???
Plus de légèreté,c’est mieux!!
Peur d’être jugé.
Arrête peut être de TE juger et personne ne te jugera !
Sais-tu que l’antidote de la peur c’est…. l’AMOUR !!
L’AMOUR inépuisable qui est tout au fond de toi…
et sache que PERSONNE N’a le droit de te juger.
ALLEZ,BONNE CHANCE !!Ne perds pas ton temps à te demander ce que les autres pensent de toi!!!
Porte ton regard sur ce qui mérite d’être POTENTIALISE !!
j’ai apprécié cet article , je ne pensai pas que les peurs que je ressens puissent être universelle , quelque part c’est rassurant de savoir que l’on peut apprendre à les maitriser
Merci!
Merci beaucoup surtout pour l expliquation des trois parties du cerveau
Je vis dans un autre pays que le mien alors j’ai peur de l’echec.J’ai un blocage psychologique que je veux surmonter.
Merci
Quel est le rapport avec le fait de vivre a l’étranger ? Tout le monde fait des erreurs.
L’echec est un bien grand mot… Acceptez ce qu’il arrive, ce qui arrivera, ce qui se passe autour de vous et surtout qui vous etes.
Cherchez ce qui vous donne ce blocage, que vous est-il arrivé pour que cela vous bloque a ce point ? est-ce vraiment si important ?
Avez-vous peu d’etre jugé et votre pays avec ? D’amener des préjugés ? du racisme ?
Vous etes tombé de nombreuses fois avant d’apprendre a marcher. Considérez vous cela comme un echec ? N’avez vous pas fini par y arriver ?
N’ayez plus peur de vos erreurs, apprenez d’elles.
Peur d’être jugé, peur des voyages, peur d' »oser »,
la peur est une tres belle chose pour moi, elle m’aide à avancer et tout ce que je fait sous s’emprise ne me faiblit pas bien au contraire je ne regrette point ce que j’ai fait apres elle méme si c’est un echec où une ressite l’essenciel que j’agisse là et ma satisfaction.
ma plus grande peur actuelle est liée à la situation de mon grand fils qui doit réussir un bac pro fin 2013 et qui n ‘arrive pas à se mettre au travail. Que deviendra t il s’il rate cet examen? et pas question de redoubler une ecole privée qui coute très chére.
En fait ma peur revient à dire: vais je devoir continuer à subvenir à ses besoins (je suis retraitée et il a 24 ans) indéfiniment..
Moi je dirais qu’il faut continuer à faire confiance au fils!
Aime – t -il ce qu’il fait?
Il a 24 ans et il n’a pas encore son bac?N’est -il pas temps qu’il se cherche un boulot?Une formation?Quel est son désir?
Qu’aurait–il aimé faire ou être quand il était petit?
Peut être n’est -il pas dans le juste chemin?N’ayez crainte,chaque
être a son chemin propre,faites lui confiance et ayez confiance en la VIE
Ma peur c’est de penser que les choses risquent de ne pas se passer comme j’ai prévu ce qui me met tout le temps dans l’anticipation et le contrôle
l’essenciel c’est d’agir le reste viendra apres voila ce qu’il faut faire et méme si c’est un echec il faut continuer à agir le plus dur à faire lorsque on ne fait rien.
Et si vous cessiez de prévoir ?
Les choses ne se passeraient plus d’une autre facon…
Relachez vous, détendez vous, cessez d’anticiper et acceptez les choses.
Plus facile a dire qu’a faire mais après tout… Si ca vous rend heureuse ? Si ca vous debloque ? si ca vous permet d’avancer sans peur du lendemain ?
Bonsoir, cet articule me fut très utile
ma peur se résume dans le rejet, le refus, j’ai peur du refus de l’autre: dans un entretien, dans une relation amoureuse, cela m’empêche d’être moi même et pourtant mon entourage m’apprécie bcp, et je trouve que cette modifie ma vraie nature et m’empêche de raisonner et d’agir de manière posée des fois.
j’ai appris à l’apprivoiser juste en l’évitant mais elle est tjs là et surgit à chaque fois déjà que je suis au début de ma carrière..
Parler en Public ?
Peur du vide ! ( SUJET AU VERTIGE ! )
Me retrouver à la verticale d ‘un immeuble de 300 m de haut !
Je pense aussi être timide, et sensible à la pression extérieure !
je suis d ‘ essence POSITIVE mais j ‘ ai l ‘ impression que le milieu, la société qui m ‘ entoure me rend négatif !
c ‘ est sûr ! je ne suis pas épanoui et il y a encore plein de choses que j ‘ aimerais faire !
Voyage et vois d’autres choses, prends du recul !
Et surtout… donnes-toi les moyens de faire ce que tu veux faire
Ce qui me fait peur dans la vie c’est ce qu’en dira-t-on de ma manière de parler.
Bonsoir Lambert.
Ta manière de parler est LA TIENNE voyons!!!
Tu donnes trop d’importance aux autres!!!
Il faut prendre le risque de déplaire!! c’est la vie ça!!Ta manière de parler déplaît….,ET ALORS??
Il y a une chanson de Bécaud qui dit « l’important c’est la rose ,c’est la rose crois-moi »et bien l’anagramme de rose c’est OSER !!
OSE ta vie !! prends des risques….en plus, ils ne sont pas énormes!!
courage!
Au 1er février 2013, mon allocation d’adulte handicapée va s’arrêter car j’aurai l’âge d’être en retraite. Le problème est que je n’ai presque pas travaillé en France, donc on m’a dit que je n’aurai presque rien et une autre personne m’a dit aussi que je ne serai peut-être même pas assurée à la sécurité sociale. Les suisses pour qui j’ai travaillé ne reconnaissent pas mon invalidité et la retraite suisse n’arrivera que dans 4 ans. Lorsque j’ai appris ces mauvaises nouvelles, j’ai eu une grande tension avec des maux de ventre. Je me voyais à la rue.
Maintenant, je pense que je trouverai une solution car j’ai remarqué que moins j’ai peur de manquer, plus l’argent arrive. Il suffit de faire confiance mais il faut tout de même « se bouger » et faire sa part.
C’est vrai, moi aussi , il m’arrive d’avoir peur.
Il me semble que ma plus grande peur, serait d’arriver à la fin de ma vie en me rendant compte que je l’ai ratée.
Mais est-ce, en ce qui me concerne, de la peur?
Je pense surtout qu’il s’agit d’une crainte.
Plus jeune, j’avais véritablement peur de finir SDF, et puis…cela m’a passé.
Durant longtemps j’avais » peur » de finir mon existence en solitaire, et peu à peu cela s’évanouit …
Ici , j’ai vraiment tous les outils, pourquoi aurai-je peur de tout rater ???
Ma plus grande peur à moi, c’est l’idée de la mort.
Résultat : j’ai peur de prendre l’avion, le bateau, faire des activités avec des sensations…
Rien à voir avec la peur de parler en public ou de ne pas payer mes factures…
Cette peur est là, présente tous les jours et par moment, j’organise mes journées en fonction de cette peur.
La mort n est pas une fin en soi, lisez les livres de Mondy et krisnarmuti, et bien d autres auteurs.
L ame rejoint l au-delà apres la mort physique et autre chose commence.
Je n ai pas peur de la mort et c est une grande force.
J’ai peur de m’exprimer en publique,de n’être pas a la hauteur. A chaque fois j’ai comme une boule dans la gorge qui empêche les mots de sortir. Et ça constitue ma plus grande peur.
Moi j’ai peur de conduire ! je suis paniquée ,j’ai peur de perdre mon controle dans les ronds points, aux intersections, pourtant oui j’ai mon permis , c’est irraisonné , mais c’est ainsi , je fais des crises de panique et malgré une psychothérapie j’en suis au même point . Que faire ??
merci
Bonjour Nicole essayez de machez un chewingum. Ça vous aidera à bien respirer et ventiler le cerveau. Ça permet de rester lucide et de ne pas être gêner par les effets de la crise de panique. En passant mes leçons j’ai eu ce problème. Aujourd’hui j’adore conduire.
Ma plus grande peur est quand je suis passagère emn voiture. Je n arrive pas à me contrôler. le moindre ecart, ralentissement….des voitures autour moi me rend completement affolée et du coup les conducteurs de la voiture dans laquelle je me trouve réagisse souvent tres mal.
Je n y peut rien c est plus fort que moi et c est vraiment épuisant.
le regard des autres, c est terrible cela. Si on a peur en voiture, il faut se concentrer sur soi; son interieur, respirer et expirer lentement afin d apporter le calme en soi.
45 ans de conduite, je roule plutot vite quand cela est possible, et je n ai jamais jamais provoqué d accident. Qui dit mieux.
A noter qu apres avoir obtenu mon permis j ai pris des leçons avec un pilote d essai. Il n y a rien de mieux a mon avis, sans oublier de passer un diplome de secouriste-brancardier et d apporter secours aux autres en cas d accident.
Ma plus grand peur : parler en public et engager la conversation ! J’ai peur de dire d’ex bêtises d’être la risée des autres ! Je bafouille, perds mes mots , rougi, transpire , tremble, bégaie ! L’y peur engendre de ces choses ! Mais comment se soigner ?
J’ai une peur des serpents : j’en ai jamais vu et pourtant j’en ai peur et suffit que je vais un de ces reptiles à la Tv je ne dors pas de l’y nuit ….. C’est dur à vivre ! Mais c’est irraisonné!
Je connais un 4é cerveau qui est le « ventre » Sans doute est-ce là que les emotions se bloquent « la peur au ventre ».
Et j ai remarqué que lorsque la peur s insinue en moi, c est que je ne dois pas faire ou ne pas dire ce que j avais l intention de faire ou dire. Pour moi c est un signal d alarme.
Autrement, je m exprime sans peur, je vais de l avant meme parfois en prenant des risques et des baffes bien sur, mais ça permet d avancer.
Autre chose, moins on pense a l argent et moins on a de problemes financiers. Et le regard des autres je m en fous, ouisqu on dit « que le jugement d autrui n est que de la projection ».
Oui Juliette. Il semble là que vous savez ressentir vos émotions (notez que la zone « touchée » dans le corps varie selon l’émotion et les personnalités -ventre, gorge, poitrine, plexus solaire, …-).
Se rendre compte de ce signal d’alarme est un des 1er niveaux de la technique de libération émotionnelle citée dans l’article.
Et effectivement notre façon de penser a des impacts (sur notre argent, notre santé, nos relations, nos projets …).
Moi aussi, ma plus grande peur est celle de parler en public, surtout quand il s’agit d’un milieu organisationnel ridiculisant tout, critiquant négativement les propos, les projets, les idées, etc. Chose qui me bloque, souvent, et me laisse mal à l’aise, ressentant des malaises et regrettant d’avoir ouvert la bouche.
Merci.
Ma plus grande peur est d’être ridicule dans tout ce que je fait,
j’aime tellement bien faire tout ce que j’entreprends.Si, je ne suis pas sûre de bien le faire,je ne me hasarde pas,ou très rarement,je prends ce risque.
Ma grande peur actuelle, c’est de parler en public;
peur de ne pas être à la hauteur
peur d’être jugée
C’est la peur de qu’on dira t-on qui me paralyse le plus !
Peur: Etre indigent financièrement.
Impact: Incapable de satisfaire mes besoins primaires (manger, vêtements,…).