Comment être un bon coach, en étant ferme, généreux, juste, motivant, et aimé si possible ? L’idéal quoi !
Comme dans tout travail de transformation, d’évolution, on garde les bons ressorts, et on se débarrasse de ceux qui font croupir, inhibent, et ternissent la vie. J’ai pu grâce au style dépouillé, précis, et incisif de Jean-Guy toucher là où cela coinçait, et faisait mal par voie de conséquence. Les émotions bien sur, celles qui nous habitent depuis toujours, et qui fécondent, ou pourrissent notre vie. Je sentais qu’il fallait rechercher dans ce travail, l’alchimie entre la droite raison, et l’émotion positive, pour que toutes les parties prenantes, y trouvent leur compte de satisfaction, et pourquoi pas de bonheur.
Je mesurais bien sûr depuis longtemps que le rôle de l’entreprise est capital, et structurant. Chaque acteur, a eu son histoire personnelle, sa vie familiale, et de surcroit sa vie professionnelle.
Alors quand on observe un comportement difficile, d’où part le dysfonctionnement, ou le conflit ?
Il faut chercher dans quelle sphère, ils prennent leur source, et éviter une culpabilité, dont profite souvent les plus tricheurs. Quand rien ne va dans la conduite, Jean-Guy rappelle une bonne règle de la psychologie « quel est le bénéfice a être ainsi ? » Oui cela parait un paradoxe, mais non, on a un intérêt à jouer un rôle qui nous gratifie de bénéfice secondaire. Tout au long du travail, c’est une logique implacable, qui fonctionne et qui n’a qu’un but, aiguiser la conscience, et permettre des levées de blocages, liées à l’histoire personnelle, les ancrages, et les croyances qui nous ont structuré.
D’une séance à l’autre, il y a la conscience, et la volonté d’acter ce que l’on a découvert et de mettre en oeuvre une conduite qui va nous changer, changer l’autre et la relation, avec tout ce que vous pouvez imaginer.
Cela se concrétise dans des actes spécifiques et mesurables. Le verbe, l’intellectualisation spéculative, les faux semblants ne sont pas de mise. Il faut savoir que le coach vous demande toujours quand vous êtes en possession de volonté, QUAND ? cette dernière se mettra en oeuvre ?
En deux mots, quand la conscience accouche d’une observation importante, le travail attend la mise en acte dans la réalité, ceci rappelle a quel point on ne vit pas dans ses pensées, ses fantasmes, mais seulement dans ses actes, et dans ces engagements, son intégrité.
Voilà, il y a beaucoup à dire, mais je veux en guise de conclusion dire mon témoignage, en terme de gratitude, et permettre à d’autres hommes, ou femmes, de profiter de ce chemin de transformation pour leur bien, et celui de celles et ceux qui les entoure, dans l’entreprise, mais dans leur foyer, ou ailleurs.
J’ai pris de la graine, je sème, et je fais tout pour avoir des récoltes fructueuses.
Merci Jean-Guy, et au plaisir de se revoir, ou de s’entendre.